À PROPOS
Stain of Light – « Simple Things »
Après « Looking For Each other » (2022) , un premier EP electro-pop qui révélait un groupe à la patte singulière, Stain Of Light annoncent « Simple Things », un EP 4 titres qui sera dévoilé tout au long de l’année, morceau par morceau. Le duo commence avec « I Believe In Science », une chanson qui illustre par ailleurs leur tournant indie-folk, se rapprochant dorénavant beaucoup plus de leurs prestations scéniques.
Pour ce nouveau registre, le groupe s’est entouré d’un batteur (Loric Matthez) et a expérimenté avec différents instruments (charango, etc.). Il en est né 4 titres intimistes, organiques, et résolument folk. Et si quelques synthés pointent tout de même sporadiquement le bout de leur nez, c’est l’incroyable voix de Natacha Nicod et le jeu de guitare inspiré de Lucien Naclerio qui sont plus que jamais le cœur des morceaux. Au niveau des textes aussi, le groupe a mué. Le ton révolté qui habitait « Looking For Each Other » est mis de côté au profit de celui plus apaisé de « Simple Things ». Sur le premier single « I Believe In Science », par exemple, le groupe aborde les amitiés qui durent ou qui se brisent. Sur « Walk A Mile », c’est l’empathie qui est mise sous la loupe (« You should walk a mile or two in my shoes »), tandis que « Bottle Town » met en garde contre les passions trop intenses (« Don't take your soul and leave it on the quay. The things you love aren't in the sea. »). Et lorsque sur « The Last One », qui clôt l’EP, le groupe chante «I tried to write a song, but nothing rhymed. Never really know what to say », iels expriment leur besoin de chanter, de crier et de s’exprimer de façon presque instinctive.
Les 4 morceaux de « Simple Things » seront dévoilés un par un tout au long de l’année, reliés entre eux par un vidéo-clip ambitieux en 4 volets. L’EP a été produit par Joris Amann (guitariste de Bastian Baker) et enregistré au Makava Studio de Lausanne fin 2022-début 2023. Composés pour la plupart au détour des concerts du groupe, les morceaux ont été mixés et masterisés par Joe Grasso.
© Marius Mattioni